Avancer solo ou la jouer collectif ?

Es-tu de ceux qui veulent plutôt avancer solo, ou plutôt la jouer collectif ?

Dans cet article, je vais te parler d’ego et de philo, mais aussi de moutons, de hérissons, et de cyclistes.

Let’s go ?

Alors, entre faire sa vie en solo ou miser sur le collectif, dans les deux cas, je crois bien qu’il y a du pour et du contre.

D’ailleurs, on est dans une société assez paradoxale, qui prône à la fois officiellement la solidarité comme un étendard, et en même temps qui nous isole, qui flatte notre ego et nous incite insidieusement à la jouer plutôt solo.

Tu ne trouves pas ?

Le côté solo

Le coté solo, solitaire, peut faire peur. C’est sûr. En tous cas, j’imagine, vu de l’extérieur.

Et sa limite c’est bien celle de l’ego.

Qui peut réussir à nous faire croire qu’il est possible de « réussir seul ».

Alors que c’est tellement un mirage !

Personne ne réussit seul.

Derrière toute grande réussite, il y a tellement de personnes !

Même si elles sont dans l’ombre.

Mais pourtant, aussi, ne le rejetons pas tout de suite à la poubelle cet ego.

Car je crois qu’en même temps, on a parfois bien besoin de lui. Ou du moins de cet élan individuel, qui fait notre singularité.

Car sans cela, comment réussir à s’extirper de l’ensemble pour écrire sa propre toile ?

Le collectif

Quant au collectif, parlons-en.

Parfois, il peut nous étouffer totalement. Nous transformer en mouton bien sage qui suit docilement le troupeau.

Mais en même temps, il est parfois si puissant ! Ce collectif ! Si on reprend une autre image animale, on peut penser aux hérissons qui, lorsqu’ils ont froid, se rapprochent les uns des autres pour se réchauffer.

Même si à force de trop se rapprocher, ils se piquent !

Dilemme de l’intimité humaine selon le philosophe Schopenhauer.

Etre ensemble, mais pas trop proches.

Bénéficier de cette superbe énergie du collectif, dont parlent aussi les cyclistes lorsqu’ils sont dans un peloton.

Car apparemment au milieu d’un peloton, ils seraient portés à 90% par le groupe !

Etre porté, et en même temps, être capable, à un moment donné, de lâcher l’ensemble, pour faire son échappée.

Car sinon, comment gagner la course ?

Conclusion

Créer sa vie est un art.

Et je crois bien qu’il se compose d’une capacité à s’entourer, partager, recevoir et donner.

Et en même temps, dans un même mouvement, c’est aussi la capacité à tracer son chemin, à suivre sa propre étoile, sa flamme, à contre-courant.

Oui, décidément, vivre est à art.

A explorer seul mais sûrement à savourer à plusieurs.

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Invitation

Et si tu veux justement vivre une super aventure individuelle au milieu d’un collectif engagé comme toi, c’est ce que je te propose pour le mois d’août au travers de mon programme « Summer 30 – The Last Call ». Soit 30 jours pour avancer intentionnellement sur les projets qui te tiennent à coeur, et cartonner ta rentrée. Tu veux en savoir + ? Clique ici pour regarder la vidéo de présentation